La nouvelle est tombé en février 2010 mais a été étouffé par la mairie de Londres. Cependant, depuis plus d'un an de combat, cette affaire n'est toujours pas résolue et fait toujours trembler les clubbers londoniens ainsi que ceux venant de toute l’Europe assister aux soirées gigantesques du Ministry Of Sound.
Ce club mythique, tant connu pour sa structure que pour ses compilations, est en effet menacé par le promoteur immobilier Oakmayne qui tendrait à construire une résidence juste en face du club, ce qui aurait pour conséquence de le conduire à une obligation de déménager et représenterait un gros manque à gagner pour le groupe Ministry Of Sound, voire une fermeture définitive du club à plus long terme.
Le président d’Oakmayne, Christopher Allen, aurait justifié sa décision par le fait que ‘nightclubs come and go’ (‘les boites de nuit vont et viennent’ en quelque sorte). La direction du Ministry Of Sound n’entend donc pas se laisser faire, et compte ainsi se défendre du mieux qu’elle peut face à ce magnat de l’immobilier, en montrant qu’une boite de nuit n’est pas qu’un lieu de fête, mais aussi une source de revenus pour les commerçants alentours (le quartier d’Elephant and Castle notamment), pour les employés, et aussi pour les DJ. De plus, au-delà d’une entreprise, c’est aussi un lieu de culture, de musique…
Les plus sceptiques rétorqueront que le MOS n’est pas la seule boite de nuit à Londres et qu’il existe par exemple la Fabric, mais ceux qui aiment le club, les compilations, l’ambiance, ou enfin ceux qui considèrent ce lieu comme un symbole de la House Music pourront signer cette pétition :
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Le président d’Oakmayne, Christopher Allen, aurait justifié sa décision par le fait que ‘nightclubs come and go’ (‘les boites de nuit vont et viennent’ en quelque sorte). La direction du Ministry Of Sound n’entend donc pas se laisser faire, et compte ainsi se défendre du mieux qu’elle peut face à ce magnat de l’immobilier, en montrant qu’une boite de nuit n’est pas qu’un lieu de fête, mais aussi une source de revenus pour les commerçants alentours (le quartier d’Elephant and Castle notamment), pour les employés, et aussi pour les DJ. De plus, au-delà d’une entreprise, c’est aussi un lieu de culture, de musique…
Les plus sceptiques rétorqueront que le MOS n’est pas la seule boite de nuit à Londres et qu’il existe par exemple la Fabric, mais ceux qui aiment le club, les compilations, l’ambiance, ou enfin ceux qui considèrent ce lieu comme un symbole de la House Music pourront signer cette pétition :
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